A l'heure où la tendance est de mincir pour être belle, dans certains coins du monde, les femmes se gavent de médicaments pour être obèse.C'est le cas particulièrement en Mauritanie.
J'ai regardé un reportage dans "Envoyé Spéciale" sur ces pratiques et je n'en revenais pas. Les médicaments sont vendus par des vendeurs ambulants dans les rues ou marchés, et ces médicaments proviennent du Nigéria et de l'Inde, certaines utilisent même des hormones de croissance animales!
En Mauritanie (et dans certains pays d'Afrique) , en général être ronde et signe d'aisance et impose le respect; afficher ses rondeurs permet de d'honorer son mari et prouve que ce dernier la nourrit bien.A l'opposé, être mince est synonyme de maladie, en particuliers le SIDA.
Ce culte des "rondeurs" est tellement 
fort au Tchad qu'on gave les filles dès l'adolescence pour qu'lles puissent être abordé par d'éventuels prétendants.
Le problème, ç'est que ces femmes qui deviennent "difformes", avec des joues et des seins de taille "hors-normes" mettent en péril leurs santé car elles s'exposent à beaucoup de maladies graves et peuvent même être victimes de mort subite.
Ces pratiques sont ancrés dans les moeurs et seule une minorité commence à prendre conscience du danger de cette pratique cautionnée parc une majorité de la societé.
u Keita et Malick Sidibé.Portraitiste et coloriste hors-pair, entre "Urban Chic" et ethno-pop, cette surdouée nous offre une vision pointue et originale de la société Sud Africaine."Bamako 2007.VII Rencontres africaines de la Photographies" (éd Marval) 
L’héroïne de Aya de Yopougon, tome 1, Aya, est une jeune fille de 19 ans dont les études sont l’unique préoccupation, car son ambition est de faire médecine. A contrario de ses amies, Adjoua et Bintou, grandes « gazeuses » (noceuses) devant l’Eternel qui l’ont surnommée la « bosseuse ». Ses parents Ignace, cadre à la Solibra, la brasserie nationale, et Fanta, rêvent pour leur fille d’un bon parti qui n’est autre que Yao, le fils du patron de la Solibra. Mais Aya ne l’apprécie pas vraiment... Cette bande-dessinée que l’on doit à la franco-ivoirienne Marguerite Abouet, pour le texte, et à Clément Oubrerie, pour les illustrations, nous fait rentrer, en cette année 1978, de plain pied à Yopougon, « Yop City », quartier populaire de la capitale ivoirienne. Sa vivacité, son dynamisme et cette ambiance « toujours à la fête » qui la caractérisent, encore aujourd’hui, transparaissent sous les coups de crayons et les noms des maquis (bar-restaurants populaires) qui en font toute l’âme. Comme cet explicite temple de la danse qu’est le « Secouez-vous ».
"..le language trafiqué(comme dit mon père!) se répand de plus en plus dans la société , pour ceux qui sont "en retard" j'ai trouvé un super livre qui permet de décrypter "l'argot" moderne : "Lexik des cités" Collectif, Editions Fleuve Noir, qui est le fruit du travail entres des jeunes d'Evry et l'association Permis de vivre la ville. Dans ce livre ils définissent plus de 500 mots qu'on utilise couremment dans la vie de tous jours sans s'en rendre compte et sans connaître leur origines ou comment ils sont nés ! A l'heure ou même des "bourges" du 16e parlent verlan , faut prendre ça au sérieux!/fdata%2F1657891%2Favatar-blog-1027017237-tmpphpH8prcO.jpeg){kind=avatar}