L'EXPRESS : QUI EST BARACK OBAMA

  "Alors que la campagne des primaires va entrer dans une phase décisive , le challenger de Hillary Clinton reste un très sérieux prétendant à la victoire dans le camps démocrate .Mais d'ou vient ce sénateur qui, en quelques mois,a fait souffler un vent nouveau sur la politique américaine?Histoire d'un noir qui voit plus loin que les droits civiques et pourrait, s'il était élu, ressuciter le mythe Kennedy." L'Express

J'ai appris énormément sur lui , en lisant cet article qui lui consacre plus de 10 pages illustrées de photos personnels :de son enfance , son adolescence , à son parsours professionnel et politique.
On apprend , que le sénateur de l'Illinois aux allures juvéniles est issue d'une famille mixte avec un père kenyan(qui l'abandonne à l'age de 2 ans) et une mère blanche issue de l'Amérique du Midwest.Balloté entre "le monde des noirs" et "le monde des blancs" , il a eu du mal à trouver sa voie étant plus jeune .Dans cet article tout son parcours politique (assez laborieux!) est passé en revue .On apprend en plus que son prénom"Barack" d'origine arabe signifie "béni" et que son patronyme swahili, Obama"lance enflammé".
A lire !! En tout cas ça m'a donné envie d'en savoir un peu plus sur lui , et je vais lire son autobiographie (Dreams from my father à paraître en français) mais son aussi son best-sellers L'audace d'espérer (Presse de la Cité). En tout cas il me plaît déjà , il est vraiment futuriste et peut apporter un nouveau souffle à cette Amérique qui en a besoin.

Aussi dans le même numéro un article sur les banlieues intitulé"le ghetto des mots" , qui dresse une image plutôt pessimiste du languge des cités (l'argot),considéré comme un enfermement dans le "ghetto linguistique". Mauvaise langue- éd.Seuil de Cecile Ladjali.

Je trouve ça un peu too much et pessimiste ,enfin faut pas pousser , faut pas s'étonner que certains s'inventent une langue lorqu'on les a laissé "entre eux", "ghettoisé", alors qu'on sait que seuls l'école et la mixité sociales peuvent y remédier. Or ç'est loin d'être le cas dans les cités!